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MARATHON DE LYON

17 Avril 2005

Surtout motivé pour passer un agréable week-end avec mes copains d'entainement en course à pied, j'accompagne ceux-ci à Lyon pour leur marathon, mais moi (Ice Man) pour un 10Km.
Nous nous retrouvons donc à 17 coureurs et non coureurs à Lyon samedi. Le temps de récupérer les dossards et de prendre un verre en ville, et nous voici tous trempés et transis par le froid.
Au traditionnel diner Pâtes, on prédit les temps espérés avec les conditions climatiques qui semblent assez mauvaises.
Dimanche matin, toujours pas d'améliorations. Les sacs poubelles de protection à la pluie sont indispensables.
Pour le
10km, on s'échauffe avec Héléna sous le porche du théatre, à l'abris de la pluie.
Au départ place de la comédie, 5000 concurents. Mais heureusements, il y a un sas pour les licenciés : on est très bien placé.
Ça part très vite, je me fais bousculer de tous les côtés. Je me cale à mon allure au début du parcourt dans les rues du centre ville. On traverse la place Bellecourt, puis on rejoint les quais du Rhône, en remontant vers Parc de la tête d'or.
Peu après, on revient en sens inverse vers Gerland.
Je vois déjà le panneau
6km ; 31min. Bon, ça se passe bien pour l'instant en avançant aux sensations.J'essaie de garder l'allure.
Au
8ème kilo, je sens que je peine. Caché par un virage, une belle marre d'eau sous un pont : pas de problème, on est déjà trempé jusqu'aux os.
Ça m'allourdi quand même un peu les chaussures.
9ème kilo, j'accélére l'allure pour finir en 38min 44secondes.
A l'arrivé, sous l'averse, difficile de se ravitailler avec les mains gelées. Je vais me réfugier quelques instants dans le palais des sports avant d'aller rejoindre
Héléna sur son dernier kilomètre. Elle finira haletante en 53min 46secondes.
Pas de change sur place, il faut retourner à l'hotel en métro.
En route, un peu réchauffé, et avec mon coupe vent poubelle, je decide finalement de rejoindre mes copains marathoniens au
36ème kilomètre. Je prends quelques photos des premiers, puis accompagne Pascal jusqu'à la fin.
Les résultats des marathoniens ne seront finalement pas si mal malgrès les conditions climatiques difficiles.
Seul un coureur du groupe devra s'arreter en hypothermie, mais finira après s'être réchauffé.
Après le sport, le réconfort : douche, repas et sieste.
A Lyon, il ne faudrait pas passer à côté d'un bon repas. On dine donc à l'excellente Brasserie Georges dans un cadre de 1836 dans une salle de 700m2.
Le lendemain visite de Fourvière et des vestiges romains (sans pluie), puis retour à la maison.